Du calme, ralentissons.

Vendredi 22 novembre, les conditions climatiques auront eu raison d'un tiers des effectifs. Nous sommes allés au bout, au front dans ces galeries si riches après avoir bravé ce qu'il restait de pluie après la neige.

Du calme, ralentissons.

Les conditions climatiques auront eu raison d'un tiers des effectifs. Nous sommes allés au bout, au front dans ces galeries si riches après avoir bravé ce qu'il restait de pluie après la neige.

Difficile de s'intéresser à l'art quand l'esprit va à cent à l'heure. Il va falloir le ralentir.

Il suffit pourtant d'une bien maigre exigence professorale pour obtenir un résultat, pas si lointain à l'époque des stories, réels et autres contenus ultra courts.

Nos élèves, comme nous pouvions nous y attendre, se sont égaillés dans toutes les directions imaginables sans véritablement observer quoi que ce soit, puis, peu à peu, ont interrompu leur envol, et leurs bavardages, pour se percher auprès d'un tableau, et y rester un moment.

Alors, ils saisiront peut-être un peu mieux l'intérêt du petit détail qui aura échappé au premier essaim trop effervescent.

Nous les félicitons.

Fabien HALL, professeur de Français